La Maison Lombard poursuit son exploration des terroirs de Champagne avec une 5ème cuvée Lieu-dit.
Avec une 5ème cuvée lieu-dit, la Maison Lombard affirme sa philosophie de vins de terroir. Parmi les 4 cuvées lieu-dit que compte déjà la gamme Terroir de la Maison, trois proviennent de partenaires viticulteurs et une du vignoble Maison.
Au pied de la parcelle, Laurent Vaillant et Thomas Lombard récoltent les informations du terroir. En discutant avec leur partenaire viticulteur, ils appréhendent les méthodes culturales, le type de sol (complété par un prélèvement et une analyse) et l’influence du relief.
Le viticulteur qui travaille son terroir depuis de nombreuses saisons a beaucoup à nous confier. Nous « récoltons » une compréhension d’un terroir pour le vinifier.
Thomas Lombard
Le vins est isolé dans les chais et dégusté régulièrement tout au long de sa période d’élevage. Pendant 12 mois, le Chef de Caves veille à construire une expression Brut Nature.
Nous recherchons tout d’abord une identité de vin unique et atypique. Ensuite il faut emmener cette identité vers son équilibre minéral avant le tirage.
Laurent Vaillant
La Maison a vinifié le lieu-dit « Les Bauves » de la vendange 2015 à la vendange 2019. Charme et contrainte de la philosophie parcellaire, cette parcelle est aujourd’hui arrachée : à la vendange 2020, le viticulteur partenaire de la Maison a immédiatement proposé un nouveau lieu-dit du même cru : « Les Pimonts du Midi ».
Mot du Chef de Caves
La parcelle « Les Bauves » révèle une expression atypique du Chardonnay. Les sols riches en calcaire et en argile apportent à la fois une grande fraicheur et beaucoup de volume au vin. En sous sol, la craie très décompactée permet à cette veille vigne de puiser en profondeur, ce qui offre au vin un équilibre remarquable entre puissance minérale et concentration aromatique. 2015 est un millésime solaire : les raisins ont muri avec une météo chaude et sèche. Les pluies de la deuxième 15aine d’août ont permis un développement idéal des maturités sans nuire à la qualité sanitaire de la vendange.
Laurent Vaillant